Ordinaire
EAN13
9791033912651
ISBN
979-10-339-1265-1
Éditeur
HarperCollins
Date de publication
Collection
HARPERCOLLINS P (1)
Nombre de pages
224
Dimensions
17,8 x 10,7 x 1,4 cm
Poids
138 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier
Indisponible

Ce livre est en stock chez 8 confrères du réseau leslibraires.fr,

Cliquez ici pour le commander
Il n'y a pas de gens méchants, il n'y a que des gens malheureux...

Hervé est un homme ordinaire. Un voisin banal. Un gentil mari sans histoires. Un retraité de soixante-trois ans qui, pour tuer l’ennui, épie les autres depuis sa fenêtre ou erre dans les rues tranquilles d’Alfortville avec son chien, Billy. Et passe peut-être une tête de temps en temps au Perroquet, le bistrot du coin.
L’arrivée de nouveaux habitants dans l’immeuble en brise la douce monotonie. Ils sont jeunes, beaux, riches, avec de magnifiques enfants. Ils sont tout ce qu’Hervé n’est pas. Ils ont tout ce qu’il n’a plus. Si sa femme voit là une opportunité de se faire des amis, lui les déteste immédiatement.
«  Quand devient-on un monstre  ? C’est quoi, un monstre  ?  » Quand on se pose ce genre de questions, c’est qu’il est déjà trop tard.
Un premier roman noir magistral, qui brosse le portrait d’un homme ordinaire et de sa descente aux enfers.
 
À propos de l’autrice
Scénariste et réalisatrice au sein du duo « Najar & Perrot », Audrey Najar  développe plusieurs projets artistiques pour le théâtre. Elle est également journaliste.

« On est tendu à rompre et l’on ne sera pas déçu. [...] Audrey Najar sait installer un rythme et laisser monter l’angoisse. »  Libération

« Un roman aussi réaliste que déstabilisant.  » Cosmopolitan

«  Un premier roman coup de poing.  » L’Obs
 
«  Audrey Najar met sa virtuosité de scénariste au service d’une intrigue aux rebondissements maîtrisés.  » Les Échos

«  Dans cette microsociété que constitue une copropriété, Audrey Najar fait apparaître avec une force narrative singulière des personnages pétrifiés à jamais dans leur histoire, leur solitude, leur incapacité à s’assumer en tant qu’absents du collectif, et la souffrance qui en découle.  » Livres Hebdo

«  Le texte est d’une grande puissance dramatique sans jamais forcer le trait. Les mots sont comptés, l’expression sobre, le regard à distance. Sa force vient de sa précision, celle de l’entomologiste qui observe à la loupe un fait divers ordinaire. Et l’érige en tragédie.  » France Inter

«  Dans Ordinaire, la retraite sent le roussi.  »  Sud Ouest

«  Avec une tension croissante et palpable jusqu’à la dernière ligne, une écriture aussi percutante qu’harmonieuse et des personnages complexes et attachants, Audrey Najar signe un premier roman noir original et captivant, sur les blessures encore ouvertes et les frustrations trop longtemps contenues.  » S le magazine de Sophie Davant, Héloïse Goy
S'identifier pour envoyer des commentaires.

Autres contributions de...